Au milieu de Paris pour le cinéma

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Paris, une ville belle aux lumières splendides, est parmi les villes chères dans le monde. Cependant, elle est une ville qui regorge de merveilles et une multiplicité de cultures incroyable. Je m’appelle Marie, d’origine burundaise,  j’ai 23ans, et je suis étudiante en deuxième année de licence dans le cinéma, à l’Université Sorbonne Nouvelle.

Pour mon vol de Bujumbura à l’aéroport Charles De Gaulle, j’ai pris mon ticket de Ethiopian Airlines, car le coût était moins élevé par rapport aux autres compagnies de voyage. Le voyage a duré 14heures, en comptant l’escale effectuée à l’aéroport d’Addis-Abeba en Ethiopie. L’avion a atterri à 6h35 du matin, et s’était ma toute première fois à voir l’obscurité de nuit à cette heure. C’était juste incroyable et impressionnant pour moi. Devant l’officier de police à l’aéroport qui m’a demandé ce que je venais faire en France, c’est là que j’ai pris conscience que je suis enfin arrivée en France, à Paris, la ville de rêve touristique !

Après l’aéroport, je suis allée là où j’ai été hébergé les premiers jours. Arrivée dans la chambre, je me suis mise à contempler le paysage à travers les fenêtres, et il faisait froid dans cette période de fin septembre. J’ai voulu m’étendre un peu après ce long voyage, mais je suis vite tombée dans un profond sommeil. Mon frère qui était venu m’accueillir et me prendre à l’aéroport, est venu me réveillé pour que j’aille acheter une puce téléphonique afin que je sois joignable par téléphone, et que je puisse avoir accès à l’internet à tout moment. Cela s’est avéré d’une importance incomparable, car pour me déplacer, il me fallait tout le temps un GPS, mais aussi je demandais tout à mon frère de ce que je devais faire. L’environnement des gares, des métros, des trains était presque nouveau pour moi, et j’avais besoin d’un proche pour m’expliquer de comment on achète les tickets pour trains, de reconnaître son train, et de comment se tenir dans le train ou métro.

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L’histoire a commencé exactement en 2021, quand j’ai déposé mon dossier de candidature dans le programme de Campus France au Burundi, pour être en contact avec les universités françaises. Ayant terminé ma licence en communication audiovisuelle en 2021, j’ai voulu faire un master dans le domaine de la communication, mais je ne savais pas beaucoup dans quoi je voulais continuer mes études. Les formations auxquelles je pensais, tournaient autour de la communication, sans toutefois avoir une idée claire du domaine qui m’intéressais le plus. En postulant, j’ai vu une liste de plusieurs formations dont je ne pouvais imaginer être proposée un jour. A ce moment, mes idées ont été illuminées, et j’ai trouvé une passion avancée pour le cinéma.

Toutefois, j’ai eu un peu peur à l’idée que j’allais faire un choix d’une formation qui demande une bonne base dans le domaine. Ayant appris quelques cours sur le cinéma, je ne me sentais pas être au niveau des étudiants français qui auraient commencé le cinéma approfondi depuis la licence. C’est dans l’objectif d’être au même niveau qu’eux, que j’ai refais la licence.

Une anecdote s’est passée lors de mon choix d’université pour ma formation. Avec toutes les informations que j’avais sur la vie chère à Paris, je ne voulais pas du tout me retrouver à avoir une aventure seule dans cette grande ville de renom et d’attractions. Ainsi, j’ai choisi la Sorbonne Nouvelle en pensant que Sorbonne était une université d’une ville très lointaine de Paris. Chance ou opportunité, je ne saurais comment le décrire. Après la découverte de la découverte j’ai pensé que ça serait très dur pour de m’intégrer premièrement dans la grande ville, puis dans la grande université.

A ma grande surprise, les gens de Paris sont très accueillants et m’ont permis de m’intégrer dans la société et dans mes études. Le froid n’est pas très fort, et il y a plusieurs moyens de transport, et les routes sont en bon état. Un des caractéristiques de Paris, est la construction des bâtiments. Plusieurs places que j’ai déjà visitées, il y a au moins un chantier de construction. Ceci m’a révélé combien il est important de rénover et réparer les maisons et autres bâtiments.

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Le lendemain, je me suis rendu à Chatelet-Les-Halles, pour rencontrer un ami qui devait me faire visiter quelques endroits touristiques, et nous avons visité le Montmartre et les rues de Paris. Je me sentais comme dans livre, où l’on parle du paysage parisien et de l’ambiance des restaurants.

Les jours qui ont, après les démarches administratives de l’université, je me rendais au camp des loges à Saint-Germain en Laye, dans l’espoir de rencontrer les étoiles du Paris-Saint-Germain ; un de mes rêves qui est devenu réalité. Sur ce, je suis contente d’être parmi ce qui peuvent dire « Ici c’est Paris » comme Kyllian Mbappé peut le dire.

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Mon premier jour au cours était une expérience inoubliable. C’était un vendredi, et le premier professeur parlait un français que je pouvais bien comprendre. C’était juste après, que j’ai commencé à attendre de nouveaux termes avec un accent très rapide, de la part des étudiants et de quelques professeurs. Mais cela n’a pas duré longtemps, parce qu’en restant dans le milieu académique on s’adapte rapidement.

Concernant les habitudes alimentaires, la France est parmi les pays qui ont un bon goût culinaire. Les plats sont délicieux, et j’ai découvert beaucoup de plats d’origine française, et d’origine libanaise, car mes colocataires sont du Liban. La France est un pays qui a une ouverture au monde, et on rencontre plusieurs personnes de différentes origines, ainsi j’ai ainsi eu l’opportunité de découvrir d’autres cultures.

Je suis contente d’être actuellement en France, et précisément à Paris, car je contemple le beau paysage médiéval, mais aussi des parcs de jeux. Je recommande la France à toute personne désirant vivre une expérience riche en connaissance académique, riche en diversité culturelle et culinaire, car les français sont accueillants.

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